D.O.D.I. PROJECT 17 - BEFORE JUNE MEETING

Pour la noce Dodi Project, on s'est remis à l'anglais

     Mis en place par Vincent Malais, professeur d'anglais au collège Saint-Joseph, le Dodi Project 17 prévoit une noce franco-britannique.

     En mars dernier, le projet pédagogique Dodi Project 17, mis en place par Vincent Malais, professeur d'anglais, a fixé au 15 juin prochain, une rencontre rassemblant des adultes français et britanniques et des élèves de l'école primaire de la commune de Saint-Sulpice-en-Pareds, ainsi que des collégiens.

     Un mariage à la mode des années 60

     Cette rencontre se prépare actuellement activement. Après les premiers échanges en début d'année, le thème retenu pour cette rencontre est la célébration d'un mariage franco-britannique, à la mode des années 60. Ce mariage fictif unira officieusement Mme Brigitte Defrance à Monsieur Tex Toe, rôles joués par deux collégiens.

     Lundi dernier, après l'accueil de la directrice du collège, Mme Gaillard, une réunion de travail linguistique s'est instaurée comme une ultime répétition des cours d'anglais. En effet, les 25 élèves de 3ème B accueillaient la vingtaine de Sulpiciennes et Sulpiciens, fortement impliqués dans le projet.

     Ces élèves ont joué les professeurs auprès des adultes pour des rappels linguistiques indispensables aux futures conversations en anglais, avec les amis britanniques, fidèles participants au Dodi Project.

     Il faut dire que le jour du mariage imaginaire, les adultes français seront invités à parler et chanter en anglais. En avant-première de cette fête prochaine, Roger, « un Sulpicien linguiste convaincu et reconnu », selon ses compatriotes, s'est volontiers prêté au jeu des questions-réponses en anglais, posées par Juliette et Florian.

     En conclusion de la rencontre, Vincent Malais ajoute son sentiment : « Il a montré à ses pairs le chemin de la réussite pour l'événement du 15 juin, qui rassemblera, au moment du repas de noce, élaboré par les responsables du restaurant scolaire, cent vingt convives, en tenue des années 60. Du côté des adultes français et britanniques aussi bien que des élèves de l'école primaire de la commune et des collégiens, les rouages s'imbriquent petit à petit pour faire de cette dix-septième aventure pédagogique un show mûr et pétillant. »